Lundi, 11 Janvier 2016. Le président de la Bolivie, Evo Morales; réaffirmé que l’essai proposé devant la Cour Internationale de Justice (CIJ) de La Haye; Il cherche à faire justice pour le crime de « crimes contre l’humanité » commis par le Chili avec l’invasion du 14 Février 1879, avec qui a laissé le pays sans accès souverain à l’océan Pacifique. Chili prie simplement qu’elle donne son territoire, mais ce qui appartient constitutionnellement à la Bolivie n’est pas une question.
Il a utilisé à nouveau pour critiquer le chancelier Heraldo Muñoz, pour dire qu’aucun tribunal ne peut forcer son pays de donner une partie de son territoire. Cependant, Morales a souligné que la Bolivie espère que son pays voisin respecte les engagements historiques de négocier le retour de la mer avec la souveraineté.
Rappelant un peu d’histoire, le 14 Février, 1879 les troupes chiliennes a atterri sur le port puis bolivienne d’Antofagasta, comme l’une des premières actions militaires du Chili dans la guerre du Pacifique. Avec cette maison ont été donnés à des opérations militaires, dans lesquels la Bolivie a perdu la souveraineté sur 400 kilomètres de côtes et de 12.000 kilomètres carrés.
Contaminés par le désir de suprématie absolue sur le Pacifique, au détriment de quoi que ce soit; beaucoup disent que Chili a mis en place un réseau d’espionnage à travers le territoire bolivien pour trouver leur moment vulnérable, d’obtenir ensuite envahir et piller le port d’Antofagasta.
Le président bolivien insiste pour que ce ne fût pas une invasion et la guerre dans son pays n’a pas été sans littoral. Par la suite, en 1904 et convention fiscale déloyale a été signé; dans lequel le Chili affirme qu’il a l’attente des comptes a Bolivie. Pour Morales, l’insistance du Chili d’avoir rien en attendant son pays est une provocation; et il a déclaré que son objectif est de ne diviser pas, mais d’intégrer les pays sous juste et équitable pour tous les accords.
En 2013, la Bolivie a déposé une plainte devant la CIJ, de déclarer que le Chili est obligé de négocier un accès souverain à la mer, selon les engagements pris tout au long de l’histoire des deux nations. Ces accords sont la base juridique, et à d’autres occasions que Morales a exposé certains de ces documents; qui servent de base à son action devant la CIJ à La Haye.
Pendant ce temps, les juges de la Haute Cour; pays a ordonné au défendeur de présenter leur point de vue par écrit jusqu’au 25 Juillet. Cette décision en faveur de la Bolivie, a provoqué plusieurs changements au Chili; par exemple la nomination de José Miguel Insulza par Felipe Bulnes plutôt que comme un agent à La Haye. Le compte tenu de cela, Morales a invité Insulza, qui jouit de la sympathie; à visiter son pays pour reconstruire leur ordre du jour.
ALFA